Quotidien le Figaro, le 21 février 2008
Source AFP
François Fillon a affirmé que la France "continuera" à conduire la même politique en matière de sectes, souhaitant un "renforcement des moyens" de la Mission de lutte contre les dérives sectaires.
"La France a une politique en matière de sectes qu'elle conduit et qu'elle continuera à conduire, avec une mission interministérielle qui est sous l'autorité du Premier ministre et qui restera sous l'autorité du Premier ministre", a déclaré à la presse le chef du gouvernement lors d'une visite de soutien à la candidate UMP à Paris Françoise de Panafieu.
Concernant la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), M. Fillon a indiqué qu'il n'y aurait "aucun changement".
"Je souhaite plutôt qu'on renforce ses moyens et ça restera un instrument interministériel parce que c'est sa vocation", a-t-il affirmé en réponse aux propos prêtés à la directrice de cabinet de Nicolas Sarkozy Emmanuelle Mignon dans VSD et partiellement démentis par l'intéressée.
M. Fillon a estimé qu'il "n'y avait pas de polémique". "Mme Mignon s'est expliquée. Moi je n'ai pas à commenter les propos des collaborateurs du président de la République", a-t-il dit.
"La France a une politique en matière de sectes qu'elle conduit et qu'elle continuera à conduire, avec une mission interministérielle qui est sous l'autorité du Premier ministre et qui restera sous l'autorité du Premier ministre", a déclaré à la presse le chef du gouvernement lors d'une visite de soutien à la candidate UMP à Paris Françoise de Panafieu.
Concernant la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), M. Fillon a indiqué qu'il n'y aurait "aucun changement".
"Je souhaite plutôt qu'on renforce ses moyens et ça restera un instrument interministériel parce que c'est sa vocation", a-t-il affirmé en réponse aux propos prêtés à la directrice de cabinet de Nicolas Sarkozy Emmanuelle Mignon dans VSD et partiellement démentis par l'intéressée.
M. Fillon a estimé qu'il "n'y avait pas de polémique". "Mme Mignon s'est expliquée. Moi je n'ai pas à commenter les propos des collaborateurs du président de la République", a-t-il dit.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire